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Le parc — Opéra Garnier

18 décembre 2013 — Isabelle Ciaravola — Karl Paquette

Ce ballet signé Preljocaj, sous son apparence classique, dévoile une chorégraphie des plus moderne. Un langage s’installe par les gestes des danseurs et les pas de deux se font attendre avec impatience. “L’abandon”, dernier acte du ballet, devient une libération de la tension des corps, et laisse place à la sensualité et au jeu amoureux. La musique de Mozart accompagne très justement l’ensemble.

La belle au bois dormant — Opéra Bastille

11 décembre 2013 — Eleonora Abbagnato — Mathieu Ganio

On retrouve ici le classicisme du ballet dans toute sa splendeur. Décors et costumes grandioses, machinerie incroyable. Un nombre important de danseurs sur scène. Le “ballet des ballets” nous offre un réel spectacle, qui surprend par son ampleur. La technicité est bien présente, parfois jusqu’à l’épuisement des corps, et laisse finalement peu de place à l’interprétation et à la création. La prestation de Mathias Heymann est époustouflante !

Philippe Parreno — Palais de Tokyo

Décembre 2013

Déroutante, presque dérangeante, cette exposition nous interroge sur l’art contemporain. Des œuvres assez disparates au premier abord, on perçoit à la fin une œuvre globale. Un œuvre, finalement. La clé de voûte pourrait être la vidéo Marylin à voir en entier.


Philippe Apeloig — Musée des Arts Décoratifs

Décembre 2013

On retrouve ici le travail du graphiste qui s’étend sur plus de 20 ans. Cette rétrospective nous plonge dans sa pensée créative, et nous questionne sur le sens des images et des signes. Une belle découverte pour comprendre ce métier et ne pas oublier les éléments qui composent une création (grille, caractères…). À voir !